samedi 12 juillet 2008

36- 12. L’âne et la petite bourrique


En ce qui concerne le parking, il y avait la remise de madame Lévy au fond d’une cour : une écurie 3 étoiles mitoyenne à la maison des Sintas, sous le prétexte d’aller chez Françoilou on se retrouvait dans la remise à organiser des rencontres amoureuses entre les pensionnaires de madame Lévy : ainsi, au cours d’un jeudi printanier, une jeune ânesse qui avait ses premières chaleurs, se retrouva sous les sabots d’un âne énorme qui transperça la pucelle qui en perdit connaissance et se retrouva comme morte sur la paille du lit conjugal : mata ! Sauf qui peut ! Nous étions persuadés que la petite bourrique avait succombé à l’épreuve. Sur le coup de midi, inquiets, nous sommes retournés à la chambre nuptiale où notre victime avait retrouvé ses esprits, son équilibre sur ses 4 pattes et semblait heureuse de son sort ainsi que d’un espoir de maternité. Nous étions heureux ! Nous ne voulions pas du mal à la gentille petite ânesse.

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